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Notre parcours de Damas jusqu’au Damasson…

En 2016, Mouhammed Alomari a quitté la Syrie déchirée par la guerre pour rejoindre sa sœur Razan en Suisse, arrivée quelques mois auparavant.

Après avoir obtenu le statut de réfugiés, ils ont décidé d’ouvrir en décembre 2020, un restaurant baptisé Le Damasson.

Le domaine de la restauration n’était pas l’univers initial de Mouhammed Alomari, qui, avec une formation en économie, avait fait carrière dans le secteur bancaire.

Toutefois, en septembre 2016, fuyant les ravages de la guerre, il a dû réinventer sa vie en Suisse en rejoignant sa sœur Razan, elle-même réfugiée quelques mois auparavant.

Razan, également impliquée dans l’aventure du Damasson, est avocate de profession. Bien que la cuisine ne soit pas son domaine d’expertise, elle a attendu longtemps, trois ans et demi pour être précis, avant d’obtenir officiellement l’asile. L’histoire de Razan comporte une touche d’ironie : en Syrie, elle a participé à un groupe ministériel visant à instaurer une loi sur les réfugiés.

Depuis leur arrivée en Suisse, Razan et Mouhammed ont déployé des efforts considérables pour s’intégrer. Cela inclut un apprentissage intensif du français, des engagements bénévoles, et des rencontres enrichissantes. Encouragé par un groupe d’amis, mêlant suisses et syriens, Mouhammed a été inspiré à ouvrir un restaurant, une suggestion qui a trouvé écho. Ils ont apporté leur soutien dans les démarches nécessaires.

Ainsi, l’ancien établissement, le Guillaume Tell, désormais fermé, a cédé la place au Damasson.

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